top of page

Allergie

Changement climatique, pollution atmosphérique, pollen : un cocktail diabolique ?

 

Alors que les allergies au pollen se multiplient dans la population, une étude de l’Agence nationale de sécurité alimentaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), publiée jeudi 20 mars 2014 , met en garde sur l’impact aggravant de l’élévation des températures et de la présence de polluants chimiques dans l’atmosphère sur ces réactions allergiques.

 

Selon des études récentes, la pollution atmosphérique urbaine accroît le risque de maladie asthmatique et allergique chez l’enfant, non pas seulement lors des pics de pollution, mais aussi en cas de pollution de fond.

 

On conseille en pratique, pour diminuer la pollution intérieure, de ventiler l’habitat en ouvrant les fenêtres au moins une demi-heure par jour. Mais cela pose un problème lorsque l’habitat est situé en zone polluée. Dans ce cas, le corps médical conseille aux parents d’ouvrir du côté où il y a le moins de circulation, soit le matin très tôt, soit le soir très tard, et leur conseiller d’installer la chambre des enfants côté cour…

 

 

L’information sur les concentrations de pollens dans l’air est essentiellement relayée par le RNSA ((Réseau National de Surveillance Aérobiologique), via son site internet, un système d’alertes par courriel et une application mobile (financés par la société Stallergènes).

D’autres applications utilisant les données du RNSA existent. D’autres associations, comme l’Afeda ou les ASQAA peuvent également diffuser les bulletins polliniques.

bottom of page